Dirty Woman forme un ensemble de quatre films. Les deux premiers – les meilleurs – ont pour vedette Sarah Young, les deux suivants Sibylle Rauch, teutonne vulgaire et agressive, par ailleurs déjà à l’affiche des bobines précédentes. La brunette aux seins appétissants n’en reste pas moins présente puisqu’elle produit ces troisième et quatrième épisodes et les réalise avec le concours de Sascha Alexander. S’il ne se hisse pas au niveau de l’original et nous rappelle que Sarah restera plus convaincante devant que derrière la caméra, cet ultime volet rachète cependant la banalité de Dirty Woman 3 et ce, pour deux raisons. D’une part, en convoquant T.T. Boy et à nouveau Roberto Malone, il dresse une puissante brochette masculine, que complète encore une fois Joey Silvera en psychiatre qui encule la petite et épicée Suraya Jamal. D’autre part, en mettant l’accent sur l’anal, pratique sexuelle qui a notre préférence et dicte notamment une épaisse double pénétration avec la blonde perforée par Roberto (qui joue son mari) et T.T. (un violeur qui passe par là). Mais les formes pulpeuses et soyeuses de Sarah font quand même cruellement défaut à une production qui se déflore sans déplaisir. Sans grosses effusions (de sperme) n’ont plus… (vu le 06.07.2021) ⍖⍖
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