8 Dirty Quickies 6, c'est du porno à l'économie, du X low cost qui se contente s'enfiler les scènes sans soucis de style sinon d'unité visuelle, vulgaire et banale compilation davantage que gonzo mémorable. Bien sûr, tel n'est pas vraiment le but de ce genre de produit vite branlé mais quand même. Comme dans le cas des volumes précédents, les filles se suivent, parfois excitantes (citons avant tout Cindy Dollar, seul visage - si tant est que ce soit cette partie du corps que l'on scrute - à s'allumer dans notre mémoire) mais généralement sans charme. Un peu d'anal vient heureusement pimenter, égailler, cette morne production Deviant Mindz. Mais qu'espérer d'autre de sa part que de la baise de grande consommation. Obsédés jamais rassasiés comme nous sommes, l'ensemble fait cependant son office le temps d'un visionnage lointain. Il y a tellement mieux et surtout jouissif qu'une fois terminé, ce 8 Dirty Quickies 6 ne peut que rejoindre les limbes de nos souvenirs les plus vagues... (Vu le 28.03.2021) ⍖⍖
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