A l'instar d'une Adriana Chechik, Bonnie Rotten est une hardeuse furieuse que rien ne semble vouloir effrayer, adepte des pratiques les plus extrêmes (les plus crades aussi) et à côté de laquelle ses aînées des années 70 et 80 passent pour de romantiques jeunes femmes ! Comme son titre l'indique et production Evil Angel oblige, B For Bonnie la dévoile dans toute sa démesure brutale, le corps tatoué et toujours prompt à cracher un geyser intime. Jusqu'à la nausée. Si certains se tapent probablement des pignoles en l'a voyant engouffrer une bite au point d'en vomir, le visage souillé de bave, tel n'est pas vraiment le cas de votre serviteur ! De fait, la première scène où elle n'exécute qu'une longue gorge profonde écœure plus qu'elle n'excite. Question de goût.
Heureusement, les trois autres séquences se révèlent plus engageantes sinon affriolantes bien que la brunette ne se départisse jamais de sa féroce sexualité, ne déserte à aucun moment le terrain du X le plus radical. Même le saphisme lui inspire un triolisme tout entier et profondément dévoué à l'anal lorsqu'elle se frotte à Amber Rayne et Vicki Chase dont elle lèche la rondelle avec gourmandise tout en la ramonant avec toutes sortes d'ustensiles phalliques. Coincée entre deux gaillards (Ramon Nomar et Toni Ribas) ou trois (Mick Blue, John Strong et Jordan Ash), Bonnie témoigne d'une soif de sexe jamais rassasiée, avec une prédilection pour les sodomies façon marteau-pilon ourlées de prolapses et de squirting. Pour les inconditionnels de Bonnie Rotten ! (le 21 juin 2022) ⍖⍖
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