Quand on la retrouve dans 40 The Hard Way en 1991, on se dit que Kitten Natividad a bien changé depuis Megavixens (1976) et UltraVixens (1979) grâce auxquels Russ Meyer, le pape de l'érotisme à gros seins, nous l'a fait découvrir. Déjà, elle a vieilli et ses imposantes mamelles avec.
Surtout, elle y apparait beaucoup moins sage, s'ouvrant à deux lascars et à la sodomie lors d'une scène qui n'est évidemment pas simulée. Car, parallèlement à une (modeste) carrière dans le cinéma traditionnel, Kitten a prêté ses formes atomiques au porno pur jus, comme c'est donc le cas de 40 The Hard Way, produit un peu obscur, que trousse un dénommé Giovanni dont la carrière se résume à une poignée de pellicules dont Lèvres de feu (avec Jeanna Fine, Victoria Paris et Peter North ) et que besognent, côté masculin, le beau noir de service Sean Michaels et Marc Wallice.
La jaquette ne donne pas trop envie, écrin vulgaire et peu appétissant dont le contenu est à l'avenant : plutôt laid, rempli de gros plans anatomiques et histoire vaguement incestueuse réduite à sa portion congrue. Quelques bonnes scènes qui réchauffent l'entre-jambe à tout le moins (comme cette fille en bas rouges qui se masturbe) Bref, pour amateurs de MILFs mammaires. (vu le 26.10.2021) ⍖⍖
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