Des gonzos avec des filles qui se font ramoner sur un canapé dans des intérieurs interchangeables, on en a plein les disques durs, productions souvent inodores, rarement jouissives. La série 8 Dirty Quickies de Deviant Mindz est à ranger dans la première catégorie. Mise en scène (?) fonctionnelle, chairs (à canon) féminine pas toujours excitante et esthétique déjà vieillie définissent ces films troussés à la vitesse d'un éjaculateur précoce. Que retenir ainsi de ce deuxième volume ? Quelques belles queues, celles des chevronnés Steve Holmes ou Lee Stone, deux blondes sur un plateau, désirables quoiqu'un peu vulgaires (Lilith Lee et surtout Nikki Sands) et puis... Rien de plus ! Les numéros suivants seront-ils plus bandants ? On en doute quand même un brin. Suite au prochain épisode donc... (vu le 07.11.2020) ⍖
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