Assurément, l'âge d'or du studio Private se situe au début des années 2000, recrutant les plus désirables actrices d'Europe de l'Est. Loin du fourreau froid accueillant bien souvent de ternes jeunes filles qu'il nous sert aujourd'hui, les films qu'il besognait il y a presque vingt ans déjà diffusait une chaude patine. Troussé en 2003 par Antonio Adamo, The 5 Keys Of Pleasure se révèle tout à fait représentatif des productions Private d'alors.
Quelques amis sont réunis dans une maison. Très vite, les jeux de cartes cèdent la place à des jeux plus corsés qui les voient s'emboîter et s'échanger les uns entre les autres. Un scénario minimaliste qui sert évidemment de prétexte à une succession interrompue de séance de baise durant une centaine de minutes. On y croise déjà les hardeurs chevronnés - et toujours en activité pour certains d'entre eux ! - que sont Mick Blue, George Uhl, Nick Lang et Bob Terminator, lesquels plantent leur chibre dans toutes les serrures que leur présentent les belles Sandra Russo, Myli, Sandra Iron et surtout Julia Taylor qui enflamme la fin de la bobine lors d'une séquence où elle se fait biner par Mick Blue pendant que Nick Lang s'occupe de deux filles, lesquelles passent du saphisme à la bite avec une égale et gourmande aisance.
Drapé dans une atmosphère chaude et raffinée glorifiant les peaux satinées d'actrices ouvertes à toutes les combinaisons et les pratiques, The 5 Keys Of Pleasure surclasse à lui seul toute la production Private actuelle ! (vu le 13.11.2021) ⍖⍖⍖
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