L'âge de cristal, c'est toute une époque, celle d'un cinéma de science-fiction kitch et naïf où les personnages portent des pyjamas et où les escalators sont censés incarner un mobilier urbain futuriste. Parfois proche de La planète des singes ou de Soleil vert sans avoir ni la force du premier ni la noirceur du second, le film souffre de la mise en scène certes efficace du vétéran Michael Anderson, lequel donne cependant l'impression de tourner de la SF comme il le ferait d'un péplum ou d'un polar.
Mais les décors sont impressionnants et Jenny Agutter est charmante, touche (très) vaguement érotique d'un récit sinon bien sage. On notera au passage la présence de Farrat Fawcett dans un petit rôle et celle plus savoureuse, de Peter Ustinov. S'il marque les esprits et reste très agréable à regarder, Logan's Run n'en a pas moins quelque peu vieilli avec son univers orwellien dont on peine à sentir l'oppression. On en attendait mieux de ce film néanmoins culte.
Mais les décors sont impressionnants et Jenny Agutter est charmante, touche (très) vaguement érotique d'un récit sinon bien sage. On notera au passage la présence de Farrat Fawcett dans un petit rôle et celle plus savoureuse, de Peter Ustinov. S'il marque les esprits et reste très agréable à regarder, Logan's Run n'en a pas moins quelque peu vieilli avec son univers orwellien dont on peine à sentir l'oppression. On en attendait mieux de ce film néanmoins culte.
Chez l'UFSF
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