Firebox ne signe pas que des groupes de doom dépressif, comme le démontre Withering qui lui, œuvre dans un gothic dark bien senti, mélodique à l’instar de la plupart des groupes finlandais, et qui sait toujours faire parler la poudre. Gospel Of Madness est son premier méfait. L’ensemble est déjà parfaitement en place. C’est solide, et sans bavures. La production de Ahti Kortelainen au Tico Tico Studios est puissante et limpide. Les titres possèdent tous une efficacité redoutable, à l’image des imparables “ Northern Breeze ”, “ Quarrelsome ”, “ On Death’s Colour ” ou “ Two Suns ”, sans doute le meilleur d’entre eux.
A l’écoute de cet album, on sent bien que Withering s’est grandement inspiré des débuts d’Amorphis (période Tales From The Thousand Lakes), pour la voix caverneuse, les mélodies et la construction des chansons, ainsi que de Katatonia pour cette capacité à pondre des riffs de guitares entêtants qui tissent le fil conducteur des compositions. Mais lorsque le résultat s’avère si impressionnant de maîtrise, on ne va pas faire la fine bouche. Seul (léger) bémol, Withering gagnerait à introduire davantage de diversité dans ses créations, à varier un peu plus les rythmes, même s’il est vrai que les mid-tempos lourds façon panzer lui conviennent bien. Un groupe à suivre. (2006)
A l’écoute de cet album, on sent bien que Withering s’est grandement inspiré des débuts d’Amorphis (période Tales From The Thousand Lakes), pour la voix caverneuse, les mélodies et la construction des chansons, ainsi que de Katatonia pour cette capacité à pondre des riffs de guitares entêtants qui tissent le fil conducteur des compositions. Mais lorsque le résultat s’avère si impressionnant de maîtrise, on ne va pas faire la fine bouche. Seul (léger) bémol, Withering gagnerait à introduire davantage de diversité dans ses créations, à varier un peu plus les rythmes, même s’il est vrai que les mid-tempos lourds façon panzer lui conviennent bien. Un groupe à suivre. (2006)
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