12 heures d'horloge est un film très mineur qui souffre d'une mise en scène inexistante et d'une absence de suspense sinon de tension qui le rend plutôt ennuyeux, malgré un scénario de Boileau et Narcejac tout de même. Seules sont à sauver la belle photographie de Henri Alekan et les scènes animées par Lino Ventura dont celles qu'il partage avec Suzy Prim en tenancière d'auberge et surtout Guy Tréjean, cocasses et n'ayant rien à voir avec le reste du film, retiennent vraiment l'attention. Enfin, le charme d'Eva Bartok apporte un peu de sel à cette curieuse production franco-allemande où l'on croise également Gert Fröbe et un jeune Laurent Terzieff qui n'a malheureusement pas grand chose à faire. (23.02.2016) ⍖
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire