Si 8th Street Latinas 45 avait su redonner des couleurs (violacées) à cette série dédiée aux beautés latines, le volume 46 retombe dans les travers des numéros précédents : casting peu renouvelé, performances sexuelles mécaniques, sodomie aux abonnés absents... Bref, on prend les mêmes et on recommence. Luna Star est à nouveau de la partie (c'est bien), Azul Hermosa également (ça l'est un peu moins).
La bouche gourmande et les seins ad hoc de Bridgette B ne suffisent pas à compenser la tiédeur (au mieux) voire la laideur (au pire) de certaines séquences qui loin de chauffer l'entre-jambe freinent au contraire le désir. Malgré quelques chauds moment, assurés par Bridgette, Luna et dans une moindre mesure Catalina Ossa, 8th Street Latinas 46 se révèle bien trop sage ou sans saveur pour mériter plus qu'un coup... d'œil ! (15.05.2023) ⍖⍖
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